mardi 20 mai 2008

Il était une Foé, le Racing en L1 (ou Dj Pouch qui découvre sa messagerie)

La CARRIERE en L1 du Racing aura duré 17 ans. Avant que Lens y fasse son come-BAK, rappelons-nous de ces belles années où les joueurs faisaient encore leur JOB et où on se MAREK bien.

En 1991, les lensois ont eu du BOLI en accédant à l’élite sur tapis vert. Passés à côté du BUCHER en 1993, ils terminent européens les deux saisons suivantes, les joueurs arrivant au BELHADJ et manquant une finale de Coupe de France. 1995 est une saison HEDOINE puisque le Racing ne décroche rien mais la BONAVENTURE n’allait pas tarder à commencer.

En 1996, LAMARCHE se surpasse et quatre futurs grands tombent DACOURT avec le club. Après deux longues années de transition à se demander « L’aile ou VERCRUYSSE ? », le Racing entame, à sa MAGNIER, sa route vers la gloire. 1998, cette année-là, moi, WALLEMME bien. Le Racing décroche son seul et unique titre de champion de France et tout Bollaert est en THANS. Génération arrivée à maturité, beaucoup partiront dès la fin de saison tels DEHU SARR devant un char LECLERCQ.

En 1999, tout ROOL : le Racing gagne un deuxième trophée, la MARX des grands, avec la Coupe de la Ligue et signe l’un des plus beaux exploits du foot français en gagnant à Wembley contre Arsenal sous la houlette du Druide, qui partira à la fin de l'année, ayant compris que la chance allait TOURNAY. A la fin de saison, beaucoup de titulaires ARSENE leurs envies d’ailleurs pendant que les remplaçants font de la LECH. En 2000, sans Larmache parti au PSG, le recrutement est PITAU (Fuertes, Bejbl, Grozdic…) et des entraîneurs se succèdent pour redonner un semblant d’unité à une équipe qui ira quand même en demi-finale de la Coupe UEFA après un parcours prestigieux (Vigo, Kaiserlautern…).

2001 est encore une année de zi ZIANI mais Gervais appelle Muller qui nous lâchera les plus belles perles de la Gaillette : « UTAKA marquer ! LACHOR donc le ballon ! KEITA celui-là ! Faut avoir l’oeil de LAIGLE, pas celui du LAMA ! Oui BAKARI MEYRIEU pas les gars ! Avec la pointe LAMINE ! »… Emmené par ce psychorigide, Lens revient dans la course au titre en 2002 mais perds sa première finale du championnat contre Lyon qui deviendra ensuite irrésistible.

2003-2004-2005, le Racing FANNI à la 8ème place. Avec fond de jeu digne de Chevalier et LASPALLES, LEROY des dépressifs est débarqué en janvier 2005 après une défaite 0-3 contre St Etienne mettant Bollaert vert de rage. Gillot, la perfection au masculin, sort donc de sa réserve et les lensois accrochent l’Intertoto. L’année du centenaire, 2006, est celle où Lens courra pendant longtemps après la LDC, mais VAIRELLES Lille leur taxer la 3ème place à la faveur d’une entente fraternelle entre SEYDOU et leur victoire 4-0 sur Lyon. Trop GROZDIC pour être vrai !

La saison suivante, Gillot repart pour un tour. Gagnant par Demont et par vaux, à la trêve, l’équipe est seconde, mais un mercato mal géré va engendré des dommages « COLLADO râle ». L’équipe en manque de JUSSIE au final à la 5ème place. Gillot fout le camp sans GILLET, mais les dirigeants MARTEL : « GERVAIS bien, merci ». La fin est proche…

2007-2008, un gros cubis périmé en provenance d’Auxerre arrive et attend l’homologation de son contrat au bar. Il demande au barman du club : « Il fait FRAU ici. SIBIERSKI vous plaît ! » Le barman lui répond : « Leffe ou Kro ? Mais KHITER toi au fait ?». Après quelques matchs de beaucoup de millions pour acheter ses ex-protégés, le cubis repart dans son pays, venu sans Chablis, il ne verra même pas CHABBERT. Pour lui succéder, le JPP arrive et les auxerrois se barrent. C’est le BADE ! Le druide revient en janvier pour épauler le bras cassé mais les JOLY matchs contre Le Mans ou Lyon ne suffiront pas à son groupe à assurer le maintien. Une finale de Coupe de la Ligue permet de croire à une fin de saison plus gaie mais l’ELOI du plus fort a raison de Duhamel. La poisse continue avec Aruna (« JEMAA à ma jambe ») et Lens est relégué en L2. Mais le Racing ne MOREIRA pas…

DJ Pouch.